Maximiser les demandes

Le plupart des participant·e·s sont timides quand il s’agit de venir poser une question aux mentors… Peur de déranger, peur de paraître bête… On a beau être là pour ça, ce n’est pas toujours évident !

Il est donc important de baisser ces barrières pour permettre à tou·te·s de profiter du mentoring qui est au cœur de NodeSchool.

Créer du lien lors des pauses

La journée démarre par le petit-déjeuner, et on a une belle pause déjeuner au milieu. D’une façon générale, les gens vont et viennent, surtout l’après-midi, entre la Salle des Fêtes et le bar.

C’est le lieu idéal pour briser la glace en engageant la conversation avec les participant·e·s, notamment le matin d’un simple « Bonjour ! ». Les grands classiques sont faciles :

• Ça va ?
• Comment tu t’appelles ?
• Tu es déjà venu·e à NSP ?
• Tu fais quoi dans la vie ?
• …

Le midi, on a d’autres basiques :

• Alors, ça te plaît ?
• Ça va, tu avances comme tu veux ?
• Pas trop froid/chaud dans la salle ?
• …

Projeter sa disponibilité

Établis un contact visuel avec les gens quand tu es dans la salle, cela les aide à oser poser leurs questions. Et d’une façon générale, aie l’air le plus avenant possible : détendu·e, souriant·e !

Par ailleurs, si tu as tendance à aller discuter avec des ami·e·s / d’autres mentors quand tu n’es pas sollicité·e, il peut être utile de préciser en amont, par exemple lors de l’introduction, que même dans de telles situations le public ne doit pas hésiter à te solliciter. Cela fait généralement l’objet d’une annonce globale à l’intro, pour renforcer le truc.

Christophe, par exemple, a tendance à être au pupitre central quand il ne répond pas à une question, en train de bosser sur son laptop. Naturellement, il reste avant tout disponible pour l’auditoire.

Faire des « rondes »

Sillonner régulièrement la salle est une façon proactive d’aller à la rencontre des problèmes et questions de l’auditoire. Observe le langage corporel et l’affichage sur l’écran, à l’affut d’un message d’erreur, etc. Si tu sens un besoin, aborde la personne avec un « Ça va ? », « Tout se passe comme tu veux ? », « As-tu besoin d’un coup de main ? », voire, si tu reconnais l’exercice et la difficulté rencontrée, un truc plus précis genre « Ah, le piège classique pour cet exo-là ! ».